BARTHOLO : Euh ! Euh ! Les Journaux et l'Autorité nous en feront raison. Siècle barbare ! ... ROSINE : Vous injuriez toujours notre pauvre siècle. BARTHOLO : Pardon de la liberté : qu'a-t-il produit pour qu'on le loue ? Sottises de toute espèce : la liberté de penser, l'attraction, l'électricité, le tolérantisme, l'inoculation, le quinquina, l'Encyclopédie et les drames... ROSINE (le papier lui échappe et tombe dans la rue). : Ah ! ma chanson ! ma chanson est tombée en vous écoutant ; courez, courez donc, Monsieur ; ma chanson ! elle sera perdue. (Acte I, scène III)